Sens et relation intrapersonnelle, entre questionnement sur soi, régulateur émotionnel et intentionnalité (8)

Sens et relation intrapersonnelle, entre questionnement sur soi, régulateur émotionnel et intentionnalité (8)

Le phénomène de sens et perte de sens au travail est le point de départ de notre réflexion. Quels sont ces phénomènes ? Le travail a-t-il du sens ? Quelle est la différence entre sens au travail et sens du travail ? Si la question du sens de la vie est débattue depuis longtemps, le lien entre sens et travail tel qu’il est envisagé aujourd’hui aura dû attendre l’apparition de conceptions philosophiques plus individualistes et matérialistes qui font un lien entre le fait d’exercer une activité et celui de procurer du sens à sa vie. Par exemple, chez Marx, la conception du travail est telle qu’il peut être source d’aliénation autant que d’émancipation. Il ressort principalement que la relation entre sens et travail est un composé d’éléments cognitifs, intentionnels, affectifs. Quels sont ces éléments et comment sont-ils représentés en science de gestion ? Comment contribuent-ils à la question de sens ? Nous nous attarderons sur ces différents éléments avec les principales théories et approches du sens en science de gestion. Puis, nous traiterons des différentes pratiques managériales facilitant ces éléments et permettant de redonner du sens au travail. Bonne lecture à tous, et au plaisir d’échanger en commentaires.


Cet article est le huitième et dernier de notre série consacrée au sens. Pour retrouver les sept premiers de la série, c’est par là ↓


Nous avons traité dans les articles précédents des différents éléments de la qualité de vie au travail (QVT) avec les relations interpersonnelles et l’équilibre entre vie privée / professionnelle. Nous approfondirons ici la relation intrapersonnelle, source de sens pour l’individu ; elle représente la relation que nous entretenons avec nous-mêmes.

« L’être humain éprouve un besoin fondamental de donner du sens à son existence ; cette construction est mouvante, complexe et difficile ; et elle nécessite souvent de réaliser un travail singulier pour clarifier ses représentations et définir ses priorités » (Haumont et Al., 2015). Cette position épistémologique était, pour les auteurs, un moyen d’arriver à une méthode d’accompagnement psychologique pour des individus en quête de sens dans leur travail et/ou dans leur vie. L’intérêt de ce processus réside dans la réflexion induite chez l’individu à conduire un travail sur lui-même afin de s’engager envers un mode de vie en accord avec ses ambitions et aspirations. Il apparaît donc nécessaire d’attarder notre réflexion sur la relation intrapersonnelle et son approche.

Ce type de relation se déroule dans la tête d’un individu, ce qui implique des questions d’interprétations sur nous-mêmes et notre environnement. Cette dimension intrapersonnelle est sollicitée dans le conseil ou en psychologie en étant caractérisé comme un développement sur soi « vers l’autonomie, loin de l’hétéronomie ou du contrôle par des forces extérieures » (Rogers, 2011 ; Mercier, 2012).

Les travaux de Howard Gardner (2008) sur les différentes formes d’intelligence permettent de mieux appréhender les principes de la relation intrapersonnelle. Il explique que l’intelligence intrapersonnelle est notre capacité à faire de l’introspection, à identifier, analyser et anticiper ses propres émotions, sentiments, pensées et comportements. Elle permet donc de résoudre des problématiques sur notre personnalité et de mieux se connaître soi-même, que ce soient dans nos forces, limites, désirs, rêves ou réactions. À noter que cette forme d’intelligence, en relation étroite avec l’intelligence interpersonnelle, peut être caractérisée sous l’intelligence émotionnelle (Goleman, 1995, 2003 ; Bar-On, 2006).

Dans cet article, il s’agira donc d’abord d’appréhender les différentes composantes du soi de la relation intrapersonnelle. Puis, nous serons en mesure de développer la relation intrapersonnelle en tant que régulateur de nos émotions face aux conflits. Enfin, nous porterons notre attention sur le lien entre la relation intrapersonnelle et l’aptitude à s’automotiver.

L’approche intrapersonnelle et les composantes du soi

Cette partie porte sur les différentes composantes menant à une conceptualisation de l’approche intrapersonnelle (modèle de Bar-On). Notre intérêt s’attardera principalement sur certains facteurs comme l’estime de soi et le processus de redéfinition de soi.

La plupart des conceptualisations de l’intelligence intrapersonnelle réside dans l’aptitude à faire face aux problèmes et aux changements personnels (Bar-On, 2006 ; Goleman, 2004 ; Mayer et al., 2000). Le modèle de Bar-On (2000, 2007) propose une mesure de l’intelligence émotionnelle (EQ-i®) en comprenant une dimension propre à la relation intrapersonnelle. Ce modèle a fait preuve à la fois de nombreux tests de fiabilité, cohérence et de validité prédictive, d’où sa véracité scientifique et son utilisation. Bar-On explique donc que la relation intrapersonnelle correspond à l’aptitude à avoir conscience de ses émotions, ses sentiments, ses idées et à les comprendre.  Cette dimension comporte cinq critères majeurs que nous détaillerons brièvement :

  • Conscience émotionnelle : aptitude à reconnaître et à comprendre ses émotions.
  • Affirmation de soi : Aptitude à exprimer ouvertement ses sentiments, ses convictions et ses pensées.
  • Estime de soi : Conscience et respect de soi.
  • Auto-actualisation : Aptitude à réaliser son potentiel et à participer à des activités que l’on apprécie.
  • Indépendance : Autonomie et contrôle de soi dans ses pensées et ses actions.

Famose et Bertsch (2017) affirment que le sentiment de valeur de soi est extrêmement important, car il correspond à un grand nombre d’émotions et de comportements humains comme l’estime de soi. Concernant l’approche intrapersonnelle, ces auteurs s’inspirent de la vision de William James (1890) en caractérisant l’estime de soi comme résultant d’une comparaison entre notre perception de soi et notre soi idéal. Autrement dit, la perception de soi décrit un jugement de notre soi réel (actuel) et la perception d’un soi idéal de la personne que l’on souhaite devenir. L’échec ou l’atteinte de ses idéaux produit des effets négatifs (anxiété, dépression, faible estime de soi) ou positifs (bonne estime de soi). Cela admet donc la capacité d’un individu à s’évaluer sur ses capacités à bien réussir dans les domaines où il souhaite exceller. Ainsi, l’estime de soi résulte du ratio de ces évaluations succès/aspirations. Selon Coopersmith (1967), il apparaît que ces aspirations personnelles sont liées à des déterminants comme le pouvoir, la signification, l’apparence ou la compétence.

Les travaux sur la relation intrapersonnelle et sur l’estime de soi peuvent se percevoir par le processus de redéfinitions de soi. Selon Assad (2014), c’est un procédé de rétablissement de soi qui est influencé par notre manière à percevoir nos actions comme un mouvement « vers l’avant » (drive to move forward) et notre capacité à croire de nouveau en soi. Asad (2014) souligne donc dans cette démarche l’importance de conserver un sentiment d’espoir, de développer un nouveau sens à la vie autour de nouvelles aspirations, de nouvelles activités, de nouveaux buts.

Provencher (2002) propose de distinguer quatre dimensions propres à ce rétablissement :

  • Notre relation à l’espace temporel
  • La redéfinition et l’expansion du soi
  • Le pouvoir d’agir (empowerment),
  • La relation avec les autres (relations interpersonnelles).

Ces quatre dimensions se déploieraient mutuellement dans l’expérience que le sujet a de lui-même, des autres et du monde. Cette transformation qu’opère une personne concernerait donc autant des aspects personnels comme notre relation intrapersonnelle, que des aspects interpersonnels, et d’autres liés à notre environnement.

Relation intrapersonnelle, entre conflits et régulateur de nos émotions  

Selon Vallerand et al. (2003), il existe des passions obsédantes et harmonieuses qui sont intégrées différemment au self de l’individu. Cette internalisation est le fruit de pressions inter ou intrapersonnelles qui peuvent contrôler l’individu plutôt que le contraire. En effet, dans la mesure où ces pressions prennent une place importante dans notre identité, celles-ci peuvent provoquer des conflits.

Les recherches sur la relation intrapersonnelle montrent que différents conflits peuvent avoir lieu (Lyamouri-Bajja et Al., 2016). Dans ces conceptualisations, cette relation à soi apparaîtrait comme un régulateur à nos émotions par notre activité cognitive. (Brun, 2015 ; Bar-On, 2006 ; Bar-On et al., 2003).

La compréhension qu’un individu a d’un conflit est influencée par sa propre perception. En effet, l’individu peut percevoir le conflit comme un fait naturel, un phénomène inhabituel ou encore comme un moyen d’épanouissement et de développement personnel. Les conflits intrapersonnels sont décrits comme la « conséquence d’une frustration ressentie au sujet de ses objectifs, cibles, plans ou réalisations personnels, ou bien en conséquence de valeurs en concurrence et de cas de conscience » (Lyamouri-Bajja et Al., 2016). Il peut exister plusieurs sortes de conflits intrapersonnels :

  • D’ordre motivationnelle : incapacité d’un individu à prendre une décision
  • D’ordre moral : conflit intérieur entre le bien et le mal (manichéen)
  • D’ordre d’accomplissement de soi : lorsqu’il y a une distanciation entre notre réalité et nos ambitions.

Ces conflits intrapersonnels peuvent être aussi positifs. Par exemple, ils peuvent conduire à un processus de réflexion interne qui s’opère en vue d’un développement personnel bien précis. Lyamouri-Bajja et Al (2016) admet comme base potentielle d’un conflit intrapersonnel, l’insatisfaction personnelle et la remise en question de ses propres valeurs. Toutefois, les conséquences résultantes sont une vulnérabilité sur nos attentes et un isolement vis-à-vis de notre entourage.

Dans la relation intrapersonnelle, Brun (2015) aborde une conception de notre développement émotionnel comme régulateur à nos comportements. Cette régulation émotionnelle doit comprendre la relation de l’individu avec lui-même et son environnement social, interactions (relations interpersonnelles). Cette conception interprète les phénomènes émotionnels comme faisant l’objet d’une régulation par l’activité cognitive (Dodge, 1991 ; Gross & Thompson, 2007). L’intérêt est d’apporter des éléments de réponses supplémentaires sur l’activité émotionnelle de l’individu et d’y proposer de nouvelles interventions psychothérapeutiques adaptées à leur développement émotionnel (Brun, 2015).

Ce travail intrapersonnel permet donc la mise en place d’un mécanisme de protection du fonctionnement cognitif pour les disfonctionnements émotionnels rencontrés par l’individu (Brun, 2015). Greenberg (2002, 2008) propose alors un cadre thérapeutique qui repose sur cinq principes :

  • L’amélioration de la prise de conscience de l’état émotionnel.
  • L’expressivité émotionnelle.
  • L’amélioration de la régulation des émotions.
  • L’analyse des états émotionnels.
  • La transformation des émotions mal adaptées du patient.

Approche intrapersonnelle par les théories motivationnelles

Dans cette section, nous verrons plus particulièrement comment par certaines approches de notre relation intrapersonnelle, nous pouvons développer notre aptitude à donner du sens à nos actions et donc aussi à s’automotiver.

Face à une réussite ou un échec, Weiner (2005, 2006) explique qu’il existe des attributs permettant la motivation dans des situations d’accomplissements. Il propose une théorie intrapersonnelle de la motivation comme l’évaluation des impacts que peuvent avoir des éléments extérieurs sur l’individu. En effet, selon Weiner (2005, 2006) un individu « confronté à un événement, raisonne, fait des inférences, des déductions et donc des attributions afin de déterminer les causes de cet événement ». En passant par ce raisonnement, l’individu prend en compte une multitude d’éléments (normes sociales, passif) permettant d’estimer les causes à l’origine d’un évènement. Ces causes sont, pour Weiner (2005, 2006), à la base de trois dimensions attributionnelles qui caractérisent tout cadre motivationnel.

  • Le locus de contrôle ou de causalité s’inspire des travaux de Rotter (1966) (Cf : 6e article). Il caractérise les différentes relations causales que les individus établissent entre l’obtention d’un résultat et leur propre conduite ; il représente la tendance qu’ont les individus à attribuer à eux-mêmes ou à leur environnement la cause des événements de leur vie. Il se réfère à la perception qu’ils ont du degré de contrôle qu’ils exercent sur ce qui leur arrive : les individus qui ont un locus de contrôle interne pensent qu’ils contrôlent leur destin, que leurs actions ont un impact sur leur environnement (fatigue humeur, effort). Ils attribuent leurs performances et leurs résultats à leur propre responsabilité. Au contraire, les individus qui ont un locus de contrôle externe considèrent les conséquences de leur vie comme résultat de facteurs externes (destin, chance).
  • La stabilité, selon Wiener (2005,2006),  se réfère à Heider (1958) qui distingue les causes relativement stables (difficulté de la tâche ou capacité) de celles qui sont instables (effort, humeur).
  • La contrôlabilité est liés à des causes volontaires et donc contrôlables comme l’effort, et à l’inverse incontrôlables si l’individu n’a aucune prise sur certaines causes comme les difficultés, la chance.

Weiner (2005) affirme que  ces attributions sont déterminantes pour la motivation de nos actions par les émotions et expectations qu’elles sont susceptibles de générer. En effet,  la stabilité est en lien avec l’expectation de réussite ou d’échec ; quant aux deux autres dimensions, elles vont procurer des impacts émotionnels. Le Locus est corrélé avec la fierté et l’estime de soi que peut ressentir un individu en accomplissant quelque chose. La contrôlabilité, pour sa part, influencera plutôt la honte ou la culpabilité lorsque l’individu ne sera pas en mesure d’atteindre ses objectifs souhaités.

Enfin, l’attente de succès et les différentes émotions ressenties vont produire un effet sur notre comportement que l’individu va adopter dans une perspective d’accomplissement de soi. Gillet et Al (2010) estiment donc qu’une analyse intrapersonnelle de la motivation des individus par les processus motivationnels et les formes de régulations comportementales permettent une meilleure compréhension du sens que nous insufflons dans notre vie. N’oublions pas de noter que plus la dynamique intrapersonnelle se développe, plus l’interpersonnel se renforce. « Puisque je suis dans l’acceptation de mes vulnérabilités, de mes forces et de mes compétences, je vais être en capacité de l’accueillir chez l’autre, avec ce sentiment de solidarité » (Fischer, 1996) .

Conclusion

La relation intrapersonnelle a donc recours à des éléments cognitifs comme l’introspection pour réguler nos émotions et avoir un impact sur notre intention et notre motivation. Ces processus sont contributifs au sens qu’insuffle un individu à ses actions, ses réflexions, son affect et donc dans sa relation intrapersonnelle, mais aussi interpersonnelle.

Nous ouvrirons sur le fait que la réalité, telle que nous la percevons, est définie comme un système complexe avec soi-même, les autres et le monde qui nous entoure. D’où l’importance d’une analyse systémique pour bien appréhender la question de sens chez l’individu. Il serait intéressant d’attarder notre réflexion sur ces principes systémiques afin d’avoir une meilleure compréhension du sens de l’individu face au changement.

Références

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