Nous pouvons donc nous questionner sur ce qu’est le sens ? Comment est-il défini ? Quels en sont les différentes dimensions et comment se construit-il ? Quels sont les liens entre sens et résilience ? Comment un accompagnement de coaching permet de favoriser la construction de sens chez un individu afin de le rendre plus résilient ?
Dans l’article précédent, nous avons défini la résilience, son application à un système et son accompagnement par un coach. En effet, le coach est un tuteur de la résilience en mobilisant les ressources internes du coaché comme son adaptation aux changements avec des stratégies de coping et sa mise en action quant à l’atteinte d’objectifs par l’empowerment.
Nous traiterons dans ce cinquième article le lien qui s’opère entre accompagnement de coaching et construction de sens chez un individu. Plus particulièrement, nous attarderons notre analyse sur le coaching en tant qu’outil de la résilience pour la construction de sens chez un individu.
1. Entre Sens et Perte de Sens, un accompagnement possible
Nous entamerons cet article avec la définition et les principales dimensions du sens afin d’avoir une meilleure compréhension et opérationnalisation de ce concept (cf article 3 série sur le sens). Ainsi, nous pourrons poursuivre sur une des problématiques majeures et actuelles de notre société pour de nombreux individus, la perte de sens. Nous finirons donc sur les différentes thérapies humanistes-existentielles sur le sens pour mieux appréhender les bases de ce type d’accompagnement.
Garreau (2009) définit le sens comme « le résultat de l’activité d’un individu qui se saisit de la réalité externe au travers d’éléments cognitifs, des finalités de l’individu et des émotions et sensations qu’il ressent ». Ces différents éléments sont, notamment, présents dans les approches et théories sur le sens en science de gestion (Garreau, 2009).
Tout d’abord, le sens est le fruit d’éléments cognitifs. Notre cognition renvoie à des processus comme la réflexion et la perception que nous avons du monde qui nous entoure. En d’autres mots, elle représente le système de croyance et de visions du monde d’un individu. Ce cadre nous permet d’interpréter, de prévoir et de comprendre des situations. Cette interprétation est, en partie, influencée par notre identité biographique (environnement socioculturel, éducation) et notre identité d’actualisation (actualisation des expériences de vie). En ce sens, le cadre cognitif représente une part de notre construction personnelle (Leijssen, 2010). La structure cognitive du sens s’attarde aussi sur la relation entre sens et connaissances dans une perspective axée sur l’accroissement de nouvelles connaissances issues de l’interaction entre acteurs (Nonaka et Takeuchi, 1995, 1997).
Le sens est aussi le fruit d’éléments intentionnels. Dans la recherche de sens, la composante intentionnelle prime, car elle est à la base de toutes actions engendrées chez l’individu. Elle englobe les valeurs qui structurent nos objectifs et les manières de les atteindre. Ces valeurs sont impactées par notre système de croyance (élément cognitif) et par l’environnement dans laquelle nous évoluons. L’atteinte de nos objectifs procure donc un sens à notre vie et contribue à nous faire persévérer lors de situations difficiles. Notre intention est donc étroitement liée au facteur motivationnel. La motivation soutient les comportements d’un individu dans l’atteinte un but qu’il estime important (Leijssen, 2010).
Enfin, le sens est le fruit d’éléments affectifs qui regroupe les émotions et les sensations. L’affect est la réaction instinctive d’une personne, il englobe les sentiments de bonheur, de plaisir, d’enthousiasme et de satisfaction, mais aussi des sentiments négatifs tels que l’anxiété, la frustration, la honte, l’ennui, etc. Les éléments affectifs apparaissent donc comme un baromètre de notre bien-être psychique (Leijssen, 2010).
La perte de sens est définie comme la douleur et le malaise ressentis suite à la perte de ses objectifs et à l’incompréhension complète de son rôle dans son environnement (Baumann, 2018 : 165). Elle représente un enjeu majeur dans les mutations économiques et sociales actuelles. Les modes de management ou stratégies d’entreprises, par exemple, impactent les individus dans leurs conceptions et leur valeurs profondes sur le travail et peut donc les conduire à la perte de sens (Chéré et al., 2014). Depuis de nombreuses années, les psychothérapies centrées sur le sens se sont développées pour répondre à cette problématique en apportant des solutions d’accompagnement. Ces pratiques comportent de multiples principes humanistes et existentiels (Séméria, 2019). Des spécialistes comme Yalom (1980, 2013), Wong (2010) et Frankl (1988, 2009) avec la logothérapie se sont intéressés à cette problématique.
La logothérapie est la première psychothérapie centrée sur le sens. Frankl (1988) est parti du constat que ses patients se trouver dans un cadre comme de « vide existentiel » relatif à une névrose noogène. Cette pratique interdisciplinaire comprend des méthodes comme la psychologie humaniste, la psychanalyse, la psychologie individualiste, la phénoménologie ainsi que la théorie de la motivation (Sarfati, 2018). La logothérapie est une thérapie verbale fondée sur le dialogue pour répondre à une souffrance existentielle. Selon Frankl (1988), l’être humain possède une « ontologie dimensionnelle », ce qui lui permettrait d’être doté de spiritualité et ainsi poursuivre des efforts dans sa quête de sens. Cette dimension spirituelle est mobilisée par le psychothérapeute afin d’aider le patient à (re)définir une ou des orientations du sens (Sarfati, 2018).
La thérapie par le sens est une autre méthode d’intervention qui est dans le prolongement de la logothérapie (Wong, 2010). À la croisée entre la psychologie existentielle et la psychologie positive, cette thérapie comprend aussi des principes de la théorie du management sur le sens. Selon Bernaud et al, (2019), les activités contribuant au sens sont « la méditation, le questionnement socratique, le travail sur le rêve, le développement de la qualité de vie ». Wong (2010) propose deux types de modèles qui peuvent être perçu comme des stratégies d’intervention. Le premier, ABCDE pour Acceptance, Belief, aCtion, Discovery, Evaluating et le second, PURE avec comme acronyme Purpose, Understanding, Responsible action, Evaluation.
La psychothérapie existentielle de Yalom (2013) expose quatre enjeux majeurs à prendre en compte dans un accompagnement de ce type. Tout d’abord, la peur de la mort et notre rapport à celle-ci possèdent un impact dans notre construction interne. La liberté est un autre déterminant avec des concepts comme la décision, l’agir ou encore la conscientisation de nos responsabilités. Ensuite, l’isolement renvoie au fait que nous sommes livrés à nous-même et c’est pourquoi nous devons apprendre à être en lien avec ce monde. Enfin, l’absence de sens dans notre vie est une caractéristique importante qui nécessite de consacrer du temps et de la réflexion. Yalom (1980, 2013) ajoute que certaines activités peuvent attribuer à un sentiment de finalité aux êtres humains : l’altruisme ; le dévouement à une cause (état, religion, recherche scientifique) ; la créativité.
2. Une Construction du Sens et des sources de résiliences
Nous avons montré avec nos précédents articles que la résilience est un outil performant en situation de crise pour la capacité d’adaptation et d’action des individus. Le coach, en tant que tuteur de la résilience, permet à un individu de faire preuve d’une plus grande flexibilité intellectuelle en s’adaptant aux environnements V.U.C.A et en engendrant une mise en action quant à l’atteinte d’objectifs. Cet article a pour objet de comprendre les sources de résiliences qu’un individu en perte de sens traverse dans un accompagnement de reconstruction de sens.
Une crise confronte les individus à une situation nouvelle qui peut les conduire à une perte de sens et un bouleversement dans leurs routines (ex Covid) (Kammoun, M. & Boutiba, R., 2015). La résilience peut, justement, intervenir dans la gestion de crise ou de situations extrêmes (ex Stress) pour une meilleure adéquation des attitudes et des comportements des acteurs. Pour les individus en perte de sens, la résilience apparaît donc comme un puissant outil de construction du sens (Lakhdar, 2020).
Avant de poursuivre sur les différentes sources de résiliences qui participent à la construction de sens, il nous est nécessaire d’aborder ce processus de construction de sens avec le Sensemaking.
La théorie du Sensemaking provient du psychosociologue Karl Weick (1979). Elle appréhende les dynamiques qui influencent le sens donné à des situations auxquelles les personnes sont confrontées. Ce processus de création de sens est fondé sur la construction identitaire et comprend cinq phases dans une perspective dynamique et interactionniste : Prise de conscience ;Affiliation ; Consolidation ; Triangulation des infos ; Délibération.
Toutefois, il existe aujourd’hui plusieurs limites quant à la théorie du sensemaking. Celle-ci reste floue sur sa méthode de recueil et d’analyse des données de recherches. De plus, elle n’apporte pas une réelle définition du sens, mais plutôt une opérationnalisation de sa construction. Cependant, les travaux de Weick restent un puissant outil en tant que construction du sens pour obtenir différentes sources de résiliences. Ces mécanismes de résilience pourraient contribuer à la reconstruction de sens pour un individu en perte de sens (Kammoun, M. & Boutiba, R., 2015).
L’improvisation est la première source de résilience. Weick (1993) la caractérise comme un mécanisme d’action efficace face à des situations de perte de sens puisqu’il conduit l’individu vers une finalité nouvelle.
Les rôles virtuels constituent le deuxième mécanisme de résilience en réponse à la perte de sens. Cette notion explique les différents rôles que les individus adoptent en fonction de la situation à laquelle ils sont confrontés. Cela nécessite de faire preuve de flexibilité intellectuelle et donc de capacité d’adaptation pour changer de rôle en fonction de notre environnement. Dans ce cadre, l’identité est un terme clé pour rendre compte de la subjectivité des représentations des individus.
La sagesse dans nos comportements représente la troisième source de résilience. Elle traduit un comportement individuel ou collectif quant à la capacité de faire confiance à ses acquis ou d’en douter. La sagesse constitue une solution pour conserver son aptitude d’appréciation, d’ouverture et de communication dans des situations de crise. Elle invite les individus à faire preuve de créativité et d’improvisation pour analyser le présent (Weick, 1993).
Enfin, les interactions mutuelles permettent de garder une structure cognitive cohérente.
Les interactions entre les différents individus d’un système constituent un élément de confiance, de respect de soi et de loyauté afin de faire émerger de nouvelles solutions et d’adopter des comportements appropriés à la situation.
La résilience constitue donc l’aptitude à reconstruire du sens à l’aide de son vécu et de ses expériences pour faire face à une situation de crise (Kammoun, M. & Boutiba, R., 2015).
3. Le dispositif SVST, un outil du coaching de sens
Aujourd’hui, il existe le dispositif au sens de la vie et sens du travail (SVST) élaboré par les chercheurs Bernaud & Al, (2015). Ce dispositif représente un puissant outil d’accompagnement du sens, il consiste à identifier ses priorités de vie « à savoir ce qui importe pour soi dans la vie et à chercher un sens à donner à sa vie » (Bernaud et al., 2015). Chacune des séances dure environ deux heures (parfois trois ou quatre) avec un temps similaire à accorder lors des travail inter-séances. L’ensemble de ce dispositif est à étaler sur un délai d’environ trois mois (Bernaud & Sovet, 2019).
Il est important de noter que tout ce dispositif s’appuie aussi sur un carnet de bord remis en première séance à l’individu. Selon Bernaud,& Sovet, (2019), le carnet de bord permet une meilleure autonomie et appropriation dans nos réflexion.
La première séance est dédiée à l’instauration d’un cadre de réflexion sur le sens de sa vie. L’échange coach/coaché portera sur ce qui a conduit l’individu à solliciter ce type d’accompagnement et comment cela la préoccuper dans le passé. Un exercice de fin de séance : Imaginer le discours que l’on souhaiterait entendre lors de ses funérailles.
La deuxième séance s’attarde sur les valeurs de l’individu avec une réflexion sur l’adéquation entre nos valeurs, les caractéristiques de notre vie actuelle et les moyens pour tendre vers ce que l’on souhaite.
La troisième séance amène à considérer la situation d’un autre individu que soi-même par l’analyse d’une œuvre d’art (Livre / Film). Le contenu de l’œuvre doit orienter une réflexion sur le sens de la vie et du travail. L’analyse doit donc permettre justement de stimuler une réflexion sur soi-même. Ce travail est un outil performant de distanciation et d’autonomie pour adopter une réflexion sur la dynamique existentielle, ses priorités et ses modes de vie.
La quatrième séance traite du travail avec les représentations et les attentes que l’individu a, mais aussi de l’équilibre entre sa sphère privée et professionnelle. En préparation de la séance, l’individu peut collecter des offres d’emploi en expliquant ce qu’il y trouve d’intéressant. Les scores à un questionnaire de valeurs de travail peuvent être réalisés aussi.
La cinquième séance incite l’individu à se projeter dans le futur avec l’élaboration de deux scénarios de vie futures (professionnelle/personnelle). L’analyse de cette séance est censée déterminer les priorités de vie, les stratégies à mobiliser face aux objectifs, l’articulation entre aspects professionnels et privée, les facteurs de bien-être, les leviers et freins au changement.
La sixième séance est plus relative à la sagesse comme nous l’avons abordé dans la précédente partie (cf II) . Elle soumet la réflexion de l’individu quant à sa façon de vivre et contribue à mettre en place des actions concrètes et quotidiennes qui accentuent le sens, la qualité de vie et le bien-être.
La dernière séance présente un récapitulatif des principaux éléments obtenus durant l’ensemble des réflexions du dispositif. Cette séance accentuera les priorités de vie d’un individu et les moyens pour les mettre en œuvre.
Afin de réaliser ce dispositif, il est nécessaire que l’accompagnateur ou le coach sois formé et expérimenté pour apporter un réel cadre empathique. Mais surtout pour bien accompagner l’individu dans la reformulation de ses propos, dans l’identification de ses ressources, dans la valorisation du changement à opérer et sa mise en œuvre (Bernaud & Sovet, 2019).
Ce dispositif pourrait s’avérer prometteur pour concevoir des programmes « sur-mesure » prenant en compte les contraintes, modes de fonctionnement et caractéristiques individuelles (Guénolé, Bernaud, Desrumaux et Di Fabio, 2015). Dans le domaine de la psychothérapie, les effets et bénéfices de ce dispositif ont fait l’objet de données convaincantes. Pour en savoir plus, Bernaud& Sovet (2019) proposent cinq point clés dans la pratique de développement de cette accompagnement :
– Les cadres de référence théoriques
– L’analyse de la demande
– Les questions de format d’animation (en individuel, en groupe ou en formule hybride)
– La question de la posture des intervenants et de la supervision
– La problématique du temps et le travail interséances
Conclusion :
Après avoir défini le sens avec ses trois dimensions : cognitive, intentionnel, affectif. Nous avons pu aborder la pathologie de perte de sens et des différentes techniques d’accompagnement associés. L’enjeu de ces thérapies existentielles développent la recherche d’alternatives pour faire face aux changements et favorise le bien-être, la qualité de vie. Nous nous sommes attardés sur le processus de construction de sens et les différentes sources de résilience avec le sensemaking selon Weick. Il apparaît que quatre sources de résiliences contribuent particulièrement à construire du sens : L’improvisation, les rôles virtuels, la sagesse et les interactions mutuelles. Avec l’aide de son vécu et de ses expériences, ces éléments permettent de mieux réagir à une crise et des situations de perte de sens.
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Article très intéressant, bravo
https://www.coaching-entreprise.com/
MOREAU Benjamin
30 octobre 2021