Premier numéro de LA Revue Européenne de Coaching

Premier numéro de LA Revue Européenne de Coaching

Plus que 12 jours à attendre. On phosphore, on peaufine, on échange dans le collectif des auteurs de la revue. Eh oui, on se donne du mal pour vous présenter un travail d’étude qui permette des éclairages aussi bien que des applicatifs dans la dimension tactique de vos missions de coaching demain.

Autour de nous gravitent beaucoup de coachs professionnels, ce qui ne manque pas de piquant quand on songe que l’aiguillon de notre motivation est le plaisir et le sens, et que les derniers instants avant le lancement sont délicieux, agités, fiévreux, passionnants, mais pas inquiets et heureux.
Alors Rendez-Vous le mardi 20 décembre pour ce premier numéro de la Revue Européenne de Coaching. On vous attend.

 

Sommaire du premier numéro du mardi 20 décembre 2016

(Introduction)
(1)    La tyrannie du bien-être ? G. Portocallis
(2)    Les enjeux d’une redéfinition de la rationalité dans le cadre des organisations. T. Laroussinie
(3)    40 ans plus tard, les problèmes de l’éthique des affaires sont-ils toujours insolubles ? G. Portocallis
(4)    La Stratégie en responsabilité sociétale, facteur de développement de la résilience des entreprises. W. Monlouis-Félicité
(5)    « Deviens ce que tu es », commentaire. R. Alatorre
(6)    La géophilosophie de Deleuze. D. Aron

Il est articulé autour de trois parties distinctes. La première est composée de l’introduction et de (1), elle montre l’ambition qui est la nôtre. La seconde est composée des articles (2), (3) et (4), elle est centrée sur la question de l’individu dans l’organisation à travers les apports de la sociologie, de l’éthique et des sciences de gestion. Les articles (5) et (6) composent la troisième partie de ce premier numéro. Ce sont deux réflexions philosophiques autour des apports de Nietzsche et de Deleuze dans le cadre d’une discipline d’accompagnement.

 

Abstract du quatrième article

Monlouis-Félicité W., “La Stratégie en responsabilité sociétale, facteur de développement de la résilience des entreprises”, Revue Européenne de Coaching, 1, 12/2016
Tous les facteurs, sur lesquels repose traditionnellement la stabilité interne de l’entreprise, sont aujourd’hui régulièrement ébranlés. C‘est bien la question de la stabilité de l’entreprise en tant que construit humain qui est posée. Dans ce monde de plus en plus agité, incertain, imprévisible, de crises multiples, qui semblent devenir la nouvelle donne et non plus l’exception, quelle peut être la capacité à s’adapter, à rebondir, à redonner du sens, à retrouver un équilibre sur leurs valeurs, culture, rituels ? C’est dans ce contexte que le concept de responsabilité sociale des entreprises est devenue un sujet d’importance dans le management des organisations. Cette approche systémique lie l’entreprise à son environnement, et vice-versa. Parce qu’elle touche tous ses piliers (économiques, environnementaux, sociaux, sociétaux), elle l’astreint à la penser dans un ensemble, dans une globalité de sa performance.
Elle induit par une réponse éthique et une prise de conscience de l’interdépendance et de l’interconnexion de l’organisation avec le monde ou la société. La RSE en tant qu’approche stratégique en interpellant l’entreprise dans sa globalité, son identité et sa relation au monde, entraînerait ses composantes humaines dans une dynamique de questionnement, de dialogue et d’actions favorable à une adaptation permanente. Elle constituerait ainsi un facteur de résilience organisationnelle.

 

Abstract du cinquième article

Alatorre R., “ « Deviens ce que tu es. » ”, Revue Européenne de Coaching, 1, 12/2016
« Deviens ce que tu es. » –  Nous nous proposons de méditer autour de cette maxime, lieu commun de la pensée nietzschéenne. Au-delà de son aspect paradoxal, nous verrons qu’elle prend tout son sens dès lors qu’elle est comprise à l’aune d’une philosophie qui met en valeur le corps humain, et par là, la santé. Nous verrons que de cette mise en valeur du corps, s’ensuit une mise en valeur de l’action, mais d’un certain type d’action, que nous pouvons appeler une santé de l’action : l’action épanouissante. Enfin, il s’agira d’établir comment, à partir des précédentes conclusions, nous pouvons dévoiler l’existence d’une réflexion nietzschéenne portant sur l’humain, où l’humanité est pensée par contraste avec ce qui est non-humain dans un sens radicalement incorporel : le divin. Cette maxime sera dès lors conçue comme un porte-étendard d’une manière de penser l’humain qui se réclame davantage d’une condition terrestre, corporelle et en ce sens authentiquement humaine.

 

Le département Recherche & Développement

Sociologue
#SOCIOLOGUE #PHILOSOPHE #RECHERCHEETDEVELOPPEMENT #EMOTIONS #CROYANCES #RATIONALITE #ECOLOGIE #ETHIQUE #INSTITUTIONS #CONNAISSANCE
Commentaires
avatar de Dominique mure

Hâte d’être au 20 décembre ! Merci pour ces extraits, excellent teasing, prometteur de contenus riches, qui informent, stimulent, questionnent et nous enrichissent dans notre réflexion et dans notre pratique.

Dominique mure

12 décembre 2016

avatar de Denis Rabeau

Bonjour,
Merci de me mettre dans la boucle dés la sortie de ce numéro.
Denis

Denis Rabeau

13 décembre 2016

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *