Dans cette nouvelle série, nous revenons une fois par semaine sur des essentiels du coaching et du management. C'est la série SHORTS. C'est parti 🚀
Aujourd’hui, on parle des 5 points qui définissent le coaching professionnel.
Retour aux bases : le coaching professionnel, c’est quoi ?
On vous propose une réponse en 5 points, à l’écrit et en vidéo.
1. Le coaching a trois dimensions : individu, équipe, organisation
Pourquoi c’est important de regarder ces dimensions plutôt que l’espace de pratique ? On peut être coach·e scolaire, coach·e en entreprise, coach·e de vie. On peut aussi être spécialisé en gestion du stress, en conduite du changement, en préparation mentale. Ces thèmes se déclinent presque à l’infini. Mais dans la plupart de ces problématiques, vous serez confrontés à trois niveaux d’exercice. Le niveau individuel, le niveau collectif et le niveau systémique.
Exemple en entreprise : vous pouvez accompagner un·e manager dans une prise de poste ; vous pouvez accompagner une équipe pour optimiser son fonctionnement interne ; vous pouvez accompagner l’organisation entière pour revoir sa culture.
2. C’est une méthodologie à part entière
Ce qui fait la différence entre le coaching et d’autres méthodes d’accompagnement, c’est :
- la posture
- le dimensionnement du protocole
- la relation coach·e / coaché·é
3. Le coaching est en liens avec d’autres sciences : psychologie, philosophie, sociologie
Ce qui est important avec le coaching, c’est que ce n’est pas un accompagnement « au doigt mouillé », « au feeling ». Le coaching, c’est une pratique d’accompagnement scientifiquement éprouvée. Ça veut dire que les protocoles utilisés en coaching marchent. On en parle en détail dans ces articles :
4. Une dynamique d’optimisation des potentialités et des ressources dans un cadre de changement
Le coaching permet d’optimiser les potentialités. Qu’est-ce que ça veut dire ? C’est très simple : on a tous·tes du potentiel. Mais mettre en place ce qu’il faut pour réaliser ce potentiel, c’est parfois compliqué. Le coaching permet de faire ça. Comment ? En donnant un espace de réflexion et de projection dans lequel on peut prendre conscience de nos propres capacités, de nos freins, et de nos forces.
Pour les ressources, c’est pareil. Optimiser ses ressources, ça veut dire les identifier, puis apprendre à les utiliser à bon escient. Autrement dit : au bon endroit, au bon moment.
5. Mettre l’accent sur l’autonomie de l’individu
Rendre l’autre autonome, c’est fondamental en coaching. C’est pour ça qu’un processus de coaching doit être limité dans le temps. On parle souvent de 8-10 séances. Ça peut être 7 ou 12 bien sûr, mais il faut faire attention à ne pas créer un schéma de dépendance. Pourquoi ? Parce que le but du coaching, c’est de permettre aux client·es de réaliser leur potentiel, et donc d’être capables de gérer seul·es leurs problématiques à venir.
Retrouvez notre dernier podcast :
#11 Équicoaching et accompagnement de dirigeants avec Sabrina Ricou
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